samedi 11 juillet 2015

Colonial Williamsburg (4): Corsets et plantes médicinales

Of course me and my costume love would spend time in the tailor's shop! I learned that they still use whales' teeth (though ethically obtained) to bone stays, the 18th centuryequivalent ofa corset and a bra.

Évidemment, j'ai passé pas mal de temps à admirer, toucher, observer et poser des questions chez le tailleur, qui cousait aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Toute fraîche de mon savoir en costumes paysans du18ème siècle grâce à ma lecture d'un énième tome de la série Outlander de Diana Gabaldon, j'ai pu admirer les "stays", ces corsets faits non pas pour restreindre mais pour soutenir. Et à ma grande surprise, j'ai appris qu'à Colonial Williamsburg, les "baleines" des corsets sont encore véritablement faites avec de véritables dents de baleines, certes obtenues plus éthiquement que leurs ancêtres.





Puis nous sommes allés dehors pour la revue militaire. L'orchestre semble être animé par les collégiens et lycéens de la ville, qui ont donc un "school band" très particulier.
How cool that the local school band gets to play in the colonial military orchestra every day after school?
 Et revoici Washington !

Je signalerai au passage que bien qu'il n'y ai pas de photo car il aurait été irrespectueux d'en prendre,  j'ai pu voir une famille de Amish qui comme nous, visitait Colonial Williamsburg. Entendre leur langue proche du néerlandais et pouvoir observer discrètement leurs costumes était particulièrement intéressant. Les trois petits garçons étaient habillés exactement comme leur papa,avec des bretelles pour retenir leur pantalon et des chapeaux. Les deux petites filles avaient des robes faites dans le même tissu violet que celle de leur maman, mais étaient coiffées différemment, celle en poussette portant deux petites tresses, et la plus grande, qui devait avoir six ou sept ans, un chignon identique à celui de sa mère mais pas encore de coiffe. Coiffe maternelle que j'ai pu observer à loisir, puisqu' Ariane et moi avons admiré la revue militaire par dessus les trois petites têtes chapeautées des garçonnets, et que cette famille nous tournait donc le dos (on ne se serait pas non plus permis de les dévisager !).


Lots of noise and smoke, and we all jumped a bit the first time, but it made for a beautiful show!






Petite visite chez l'apothicaire. Là encore, j'étais un peu éclairée par ma lecture d'Outlander, et avec les explications supplémentaires de l'apothicaire, la conclusion était facile :  vive le 21 ème siècle, les merveilles de l'anesthésie et du désinfectant ! Et oui, il tient une scie à amputer sur la photo. Brrr.
The apothicary and his amputating saw. No anethesic available in the 18th century, of course.
 Le café se visitait avec l'hôtesse, qui nous expliquait comment elle fabriquait ses produits et louait ses salles pour les riches visiteurs du parlement de Virginie tout proche, avant de se terminer dans la salle commune, où l'on nous servit un délicieux chocolat chaud amer et épais. L'occasion d'échapper à la pluie et discuter avec un trappeur indien venu vendre ses peaux en ville, assis  à notre table.
My friend Ariane in the coffee house, where we drank a deliciously bitter and thick 18th century hot cocoa while casually chatting with a fur trader.



Two seconds later, there was a Coca-Cola can on the windowsill. I had to laugh at the anachronism!



Adorable trihorn hat/lid reusable mugs.




To Do List :
403. Voir des Amish.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire